A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes le 8 mars, iEES Paris met à l’honneur les femmes de notre institut.
A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes le 8 mars, iEES Paris met à l’honneur les femmes de notre institut.
Depuis plusieurs années, les scientifiques alertent sur l’émergence de nouvelles maladies et l’influence des facteurs environnementaux et sociaux sur la santé humaine et animale. La crise sanitaire provoquée par la Covid-19 souligne l’importance de ne pas négliger les dangers qui font planer sur l’humanité les pathogènes existants et ceux prêts à émerger. Dans cet ouvrage, les scientifiques proposent de faire « l’histoire naturelle du virus » . Le produit d’un travail collectif sous la direction de Florence Débarre, Directrice de Recherche CNRS de l’équipe EPE.
Lire la suite / Read moreDécouvrez toutes les participations de iEES Paris à la fête de la science 2023 du 7 au 15 octobre.
Devenez des experts en menant une enquête à base d’ADN végétal, découvrez la diversité des pollinisateurs et des fourmis, comprenez l’interaction des espèces entre elles mais aussi l’interaction entre l’eau et les sols…
Des chercheur·euses de l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA), du Laboratoire Interuniversitaire des Systèmes Atmosphériques (LISA) du Centre National de la Recherche Agronomique (CNRA) et de l’institut d’écologie et des sciences de l’environnement de Paris (iEES-Paris) ont comparé dans un article publié dans Aeolian Research, l’érosion et l’érosivité des vents entre l’ouest du Sahel et le Sahel central. Ces études permettront d’adapter des mesures de préservation de la fertilité des sols en fonction de la saison et de la localisation des sols au Sahel.
Un étude dans Biological Reviews dirigée par des chercheurs de l’Institut d’écologie et des sciences de l’environnement de Paris, de L’Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité et du Centre d’Écologie et des Sciences de la Conservation fait la synthèse des connaissances publiées sur le mimétisme mullérien au sein guêpes aculéates et abeilles. Elle met en avant que les aculéates pourraient être l’un des groupes d’organismes mimétiques les plus diversifiés et que la diversité de leurs interactions mimétiques est actuellement sous-explorée.
“Global Deep Soil 2100” est un réseau réunissant des expérimentateurs, des modélisateurs et des utilisateurs de données sur les expériences analysant le réchauffement de l’ensemble des écosystèmes.
Un atelier pour approfondir la compilation, la méta-analyse et la modélisation des données a été organisé à Sorbonne Université comme une rencontre hybride sur quatre continents. Il a réuni 50 participants et a été organisé sous la forme d’un atelier interactif.
Lire la suite / Read moreUne étude acceptée dans la revue Oecologia démontre pour la première fois que les reptiles choisissent activement les conditions d’humidité de leur habitat par des comportements d’hydrorégulation. Ce travail1 révèle que ces comportements aident les serpents à limiter les pertes hydriques et donc à atténuer le stress associé aux effets des épisodes de sécheresse. Ces réponses comportementales ne sont possibles que si les milieux naturels sont préservés avec une diversité de microclimats humides.
Lire la suite / Read moreLe réchauffement climatique a de profonds effets sur les écosystèmes et la biodiversité. Si les températures moyennes augmentent, les températures nocturnes évoluent plus rapidement que les conditions diurnes à l’échelle mondiale. Les animaux « ectothermes » y sont particulièrement vulnérables puisque leur température corporelle dépend des conditions ambiantes. De plus, les épisodes de chaleurs sont associés à des sécheresses importantes et donc une pénurie d’accès à l’eau. Une étude expérimentale publiée dans la revue Oïkos a permis de mieux comprendre les répercussions de ces changements chez une espèce de lézard de climat froid présent en France, le lézard vivipare. Ce travail souligne les effets négatifs du réchauffement nocturne et des sécheresses.
Lire la suite / Read moreUne équipe internationale d’une centaine de scientifiques, coordonnée par INRAE, le CNRS et l’Université d’Alicante (Espagne), a mené une première étude mondiale afin d’évaluer l’impact du pâturage sur les écosystèmes arides de la planète, où se situent 78 % des parcours. Leurs résultats, publiés le 24 novembre dans la revue Science, montrent que le pâturage est bénéfique sous des climats relativement froids, et dans des zones géographiques montrant une forte biodiversité animale et végétale. À l’inverse, ces effets deviennent largement délétères dans les régions plus chaudes de la planète et pauvres en biodiversité. Les conclusions de cette étude peuvent contribuer à développer une gestion plus durable des pâturages, ainsi qu’à établir des actions de gestion et de restauration efficaces visant à atténuer les effets du changement climatique et de la désertification.
Lorsqu’on mentionne le Sahel aujourd’hui, cette région africaine semi-aride entre le Sahara et l’Afrique soudanienne est souvent associée à la notion de désertification. Mais qu’en est-il au juste ? Que nous disent les dernières avancées en sciences environnementales quant à cette désertification ? Dans quelle mesure le « récit » de la désertification du Sahel s’appuie-t-il sur des résultats scientifiques, ou sur d’autres mécanismes, d’ordre plus politique ?
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