La formation, organisée du 2 au 5 juillet 2024 à Béni Khalled, visait à mettre en relation le fonctionnement microbiologique du sol, et notamment les émissions de CO2, et les propriétés hydriques et physiques du sol.
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La formation, organisée du 2 au 5 juillet 2024 à Béni Khalled, visait à mettre en relation le fonctionnement microbiologique du sol, et notamment les émissions de CO2, et les propriétés hydriques et physiques du sol.
Du 17 au 22 juin 2024 eut lieu un atelier de travail sur le thème des solutions basées sur la nature pour une gestion durable de la fertilité des sols. Organisé par Pascal Jouquet (IRD, UMR iEES Paris), en partenariat avec Ratha Muon, de l’Institut de Technologie du Cambodge (ITC), et Picheth Seng, d’AGRISUD INTERNATIONAL, cet atelier fut financé par les projets REASOL (Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères) et ECOTERM (Agence Nationale de la Recherche).
Les noms des neuf nominés ont été révélés par les jurys science et innovation. Trois lauréats, un par région, seront récompensés pour leurs projets innovants à fort impact. Parmi eux, Ratha Muon doctorante de iEES Paris.
Les projets sélectionnés portent sur une thématique de recherche qui répond aux défis sociétaux portés par l’IRD. Ils s’inscrivent dans une démarche interdisciplinaire et multi-acteurs et ont une réelle valeur ajoutée par rapport aux solutions déjà existantes.
Lire la suite / Read moreÀ Ottawa, les négociations visant à signer un traité international limitant la pollution plastique ont avancé dans le bon sens lors d’un avant-dernier cycle qui s’est achevé mardi 30 avril. Un sommet placé sous l’égide des Nations unies et auquel étaient présents Marie-France Dignac (Directrice de Recherche INRAE à iEES Paris) et Jean-François Ghiglione, deux chercheurs à Sorbonne Université. L’établissement est la première université française à être accréditée par le Programme des Nations unies pour l’environnement, lui permettant de prendre part aux négociations internationales.
Le projet a pour objectif de comprendre les phénomènes de proliférations de cyanobactéries dans les étangs du Pays de Sarrebourg, d’identifier des leviers d’action durables à mettre en place et d’accompagner la co-construction par les acteurs locaux d’un plan de gestion de ces étangs.
Lire la suite / Read moreLes 8-9 juin a eu lieu la 3e édition des rendez-vous de l’urgence environnementale à la Cité des sciences et de l’industrie. L’IRD, dont la collaboration avec le musée a été renforcée par un accord-cadre signé en mars 2024) a participé activement à cet évènement.
Les travaux de scientifiques de l’IRD et de leurs partenaires en France et au Laos, menés en Asie du Sud-est, mettent en évidence l’importante contamination fécale issue des villages tropicaux de montagne sans assainissement au moment des crues ou des pluies : il y a alors 1 000 fois plus de germes pathogènes drainés vers les hydrosystèmes situés en aval des villages, que dans les autres.
Organisé par le Dr. Tran Minh Tien, de l’Institut de Recherche sur les Sols et les Engrais (SFI), et Pascal Jouquet, de l’Institut d’Écologie et des Sciences de l’Environnement de Paris (iEES Paris) et de l’Institut de Recherche pour le Développement, France (IRD), un atelier régional s’est tenu au SFI, à Hanoi, du 27 au 31 mai, sur le thème « Matière organique du sol et gestion durable des terres en Asie du Sud-Est ».
Lire la suite / Read moreUne équipe de scientifiques de l’université Tunis El Manar et de l’IRD développe une approche multidisciplinaire pour répondre au triple défi des villes tunisiennes que sont les fortes chaleurs, la perméabilité des sols et la gestion des déchets produits par les travaux de génie civil. À la croisée de la pédologie , de la géotechnique et de l’hydrologie, leur solution innovante repose sur la réutilisation de matériaux excavés (terres, argiles, graviers…) pour créer des sols composites à destination des espaces verts urbains et de la trame brune.
Lire la suite / Read moreUne étude INRAE menée sur des noctuelles, des papillons ravageurs, révèle le rôle des phéromones émises par les femelles. Elles ont pour effet d’imposer un rythme biologique circadien aux mâles, favorisant la rencontre entre les deux sexes durant les périodes de reproduction. Fait étonnant, l’effet d’un de ces composés chimiques surpasserait celui de la lumière dans la mise à jour de l’horloge interne, une découverte qui pourrait accélérer la mise en œuvre de nouvelles applications de biocontrôle dans les champs. Ces résultats sont publiés le 8 avril 2024 dans la revue Current Biology.
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