Depuis quelques années, des vers plats prédateurs ont été introduits un peu partout par l’import de plantes exotiques. Dans cet article publié dans Diversity and Distributions, une collaboration entre l’UPEC, le Muséum d’Histoire Naturelle et l’Université James Cook, impliquant iEES Paris, a permis de modéliser les risques d’invasion à l’échelle globale. Il en ressort que ces espèces envahissantes n’ont pas encore colonisé l’ensemble des régions à risque, lesquelles doivent donc redoubler de vigilance.
