Plus d’une vingtaine de laboratoires français ont entamé une démarche de diminution de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ils viennent de dresser un premier bilan de cette initiative.
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Plus d’une vingtaine de laboratoires français ont entamé une démarche de diminution de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ils viennent de dresser un premier bilan de cette initiative.
Lire la suite / Read moreÉvolution de la qualité de l’air en zone urbaine et péri-urbaine, impact du changement climatique sur les villes, contributions des villes aux émissions de gaz à effet de serre, effets des milieux urbains sur les phénomènes météorologiques extrêmes, ou encore liens entre ville et santé de ses habitants … Ce sont tous ces aspects que vont scruter les dix projets scientifiques réunis au sein de l’initiative Paname 2022 dont le projet STREET coordonné par Juliette Leymarie, Professeure de l’université Paris Est Créteil à iEES Paris.
Lire la suite / Read moreEn septembre 2021, la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) a organisé un colloque d’une journée sur les “changements transformateurs.” Sur quels leviers appuyer pour espérer voir une vraie transformation ? Retour sur le résumé de cette journée réalisé par Médiapart et en particulier sur la présentation de Sébastien Barot DR IRD à iEES Paris.
Le 9 décembre, en écho à la Journée mondiale des sols, la Cité des sciences et de l’Industrie et l’IRD ont proposé une table ronde grand public, en duplex avec le Maroc.
Déchets toxiques charriés par les cours d’eau, terres agricoles contaminées par le plomb… Comment nettoyer les terres gravement polluées ? Comment accompagner une activité minière responsable ? Scientifiques, citoyens et société civile se mobilisent autour de ces questions essentielles.
Vous pouvez voir ou revoir la vidéo de l’événement dans cet article.
Lire la suite / Read morePeut-on concevoir des sols artificiels pour développer des espaces naturels ? José Araujo, doctorant au sein de l’unité iEES Paris, propose d’utiliser des éléments de la nature pour renouveler les sols urbains pollués.
Lire la suite / Read moreL’espèce humaine est un voisin bruyant qui laisse la lumière allumée toute la nuit et libère dans l’environnement de nombreuses substances chimiques odorantes. Même non toxiques, ces productions interfèrent avec les processus sensoriels et cognitifs qui permettent aux organismes de communiquer, d’exploiter leur milieu, ou d’éviter les prédateurs.
Comment cette pollution sensorielle agit-elle précisément sur la faune et la flore sauvages ? Que peut-on faire pour l’atténuer ?
Un article, dans the Conversation, de Michel Renou, directeur de recherche INRAE.
Présentes dans presque tous les habitats terrestres (forêts tropicales, déserts, savanes, zones urbaines, et paysages agricoles), on estime à un milliard de milliards le nombre de fourmis dans le monde.
Considérées comme des acteurs majeurs dans l’écosystème, elles font l’objet d’étude de la thèse de Fátima García Ibarra qui s’intéresse à leur impact sur la dynamique des sols et de l’eau.
Fin 2019, le collectif IPAUP remportait l’appel à projet de l’ADEME « Co-Construire des connaissances pour une transition écologique et solidaire ». Un an et demi plus tard, les expérimentations ont enfin démarré. Découvrez-en plus sur ce projet qui vise à expérimenter des solutions et techniques issues du réemploi pour restaurer les sols pollués en Seine-Saint-Denis et pouvoir cultiver des fruits et légumes sains sur ces sols.
Les mésanges charbonnières vivant dans les villes sont génétiquement différentes des mésanges des zones forestières rurales. C’est ce que les chercheurs ont trouvé dans une étude unique, étudiant des populations de mésanges dans neuf grandes villes européennes.
Les chercheurs ont comparé les gènes des mésanges urbaines à ceux de leurs congénères vivant à la campagne. Peu importe que les mésanges vivent à Milan, Malmö ou Paris: pour s’accommoder d’un environnement créé par les humains, ces oiseaux ont évolué de façon similaire.
Lire la suite / Read moreDans cette étude, les chercheurs ont utilisé la fourmi Temnothorax nylanderi pour étudier si la meilleure résistance au cadmium des colonies urbaines par rapport aux colonies forestières pouvait venir des conditions d’hibernation rencontrées juste avant leur exposition au cadmium.
Les résultats suggèrent que les colonies urbaines sont génétiquement adaptées aux métaux traces, mais que cette adaptation n’est révélée que sous des conditions environnementales particulières, les hivers froids ici.