A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes le 8 mars, iEES Paris met à l’honneur les femmes de notre institut.
A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes le 8 mars, iEES Paris met à l’honneur les femmes de notre institut.
Dans le cadre de l’Université Populaire de la ville de Bondy, Elsa Blareau, doctorante en écologie de la pollinisation à l’Institut de recherche pour le développement (IRD), rattachée à l’IEES Paris a pu sensibiliser le grand public à la découverte des insectes pollinisateurs – des quiz et des jeux – ce qui n’a pas manqué de susciter un bel enthousiasme.
Lire la suite / Read moreEmmanuelle Jacquin-Joly a été invitée à intervenir lors de la conférence des ministres de l’agriculture des pays producteurs et transformateurs de dattes dans le monde, organisée à Abu Dhabi, Emirats Arabes Unis, les 26 et 27 février dernier. Son intervention a porté sur la possibilité de lutter contre le charançon des palmiers par une meilleure connaissance de ses récepteurs olfactifs, et en particulier de ses récepteurs olfactifs aux phéromones d’agrégation.
Lire la suite / Read moreComment l’eau est-elle retenue dans le sol ? Comment en repart-elle ? Peut-on fabriquer un sol artificiel pour revégétaliser les villes ?
Dans le cadre de « Un chercheur une manip », l’IRD a proposé un voyage fantastique dans les entrailles du sol pour répondre à ces questions.
Les termitières des rizières cambodgiennes procurent de multiples bénéfices bien connus des habitants du bassin inférieur du Mékong. Des scientifiques de l’IRD et de l’Institut de technologie du Cambodge (ITC) ont quantifié ces îlots de biodiversité et répertorié les différents services rendus. Leurs travaux sont publiés dans Soil use and management.
Lire la suite / Read moreEn 2022, l’IRD soutient la création de nouvelles structures de recherche et de formation au Laos. Les programmes se déploient au sein de divers dispositifs et couvrent un large éventail de champs disciplinaires (santé, écologie, biologie, géologie, aménagement du territoire).
Dans le cadre de la COP26 qui se tient à Glasgow jusqu’au 12 novembre, Futura vous propose une série d’entretiens avec des experts du climat pour décrypter le réchauffement climatique en cours, ses causes et ses conséquences, les risques auxquels nous devrons faire face si nous ne parvenons pas à maîtriser la hausse des températures et à ne pas dépasser les 1,5 °C, les solutions qui existent et celles à mettre en place. L’urgence climatique n’est pas un vain mot !
Aujourd’hui, nous donnons la parole à Cornelia Rumpel, chercheuse du CNRS à l’Institut d’écologie et des sciences de l’environnement de Paris qui étudie les mécanismes qui permettent de stabiliser le carbone dans les sols..
Noctuelle du coton, charançon du palmier, carpocapse… autant d’insectes ravageurs des cultures dont on commence à comprendre l’odorat à INRAE, premier pas vers une lutte ciblée trompant leurs sens. Ces recherches à haut potentiel appliqué relèvent de l’écologie chimique, un domaine de recherche pluridisciplinaire alliant écologie, physiologie, biochimie et éthologie pour identifier et décrypter les différentes facettes des interactions chimiques entre organismes et environnement.
Recruté sur concours INRAE en 2020, Abhishek Chatterjee intègre l’Institut d’Ecologie et des Sciences de l’Environnement de Paris (iEES Paris) comme chargé de recherche avec 15 ans d’expérience, des Etats-Unis à l’Autriche en passant par Paris-Saclay. Son objectif : comprendre les mécanismes neuronaux permettant aux insectes de percevoir des signaux extérieurs, notamment odorants, et d’y réagir. A la clé, une gestion plus durable et ciblée des insectes nuisibles.
Lire la suite / Read moreUn article, paru le 18 juillet 2021 dans Global Change Biology, rassemble pour la première fois un nombre conséquent de preuves empiriques des effets positifs de la biodiversité cultivée sur les agroécosystèmes.
La diversification des cultures entraîne une hausse de la production de 14 % et de près d’un quart de la biodiversité associée. La qualité de l’eau est améliorée de 50 %, la lutte contre les ravageurs et maladies de plus de 63 % et la qualité des sols de 11 %.