Une étude américaine réalisée par une équipe du Michigan indique que les guêpes sont capables d’utiliser des concepts abstraits. Pour les chercheurs, cela permet de mieux comprendre le cerveau des insectes.
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Une étude américaine réalisée par une équipe du Michigan indique que les guêpes sont capables d’utiliser des concepts abstraits. Pour les chercheurs, cela permet de mieux comprendre le cerveau des insectes.
Lire la suite / Read morePhilippe Lucas et Emmanuelle Jacquin-Joly, du département ECOSENS, ont répondu présents au quatrième webinaire du colloque Ecophyto Recherche & innovation “un monde d’odeur” qui a eu lieu le 4 novembre. Au programme : la restitution finale des Appels à projets de Recherche “JEVI 2016″, Pesticides 2014” et “PSPE2”.
Présentes dans presque tous les habitats terrestres (forêts tropicales, déserts, savanes, zones urbaines, et paysages agricoles), on estime à un milliard de milliards le nombre de fourmis dans le monde.
Considérées comme des acteurs majeurs dans l’écosystème, elles font l’objet d’étude de la thèse de Fátima García Ibarra qui s’intéresse à leur impact sur la dynamique des sols et de l’eau.
Noctuelle du coton, charançon du palmier, carpocapse… autant d’insectes ravageurs des cultures dont on commence à comprendre l’odorat à INRAE, premier pas vers une lutte ciblée trompant leurs sens. Ces recherches à haut potentiel appliqué relèvent de l’écologie chimique, un domaine de recherche pluridisciplinaire alliant écologie, physiologie, biochimie et éthologie pour identifier et décrypter les différentes facettes des interactions chimiques entre organismes et environnement.
Lire la suite / Read moreComment définir la perception et à quel moment se développe-t-elle chez les animaux ? Comment ont évolué les différents sens chez les animaux et quels avantages adaptatifs cela leur a-t-il conférés ? Focus sur le reportage de la Méthode scientifique dédié à Nicolas Montagné qui explique comment les papillons perçoivent les phéromones émises par leur partenaire.
Les mésanges charbonnières vivant dans les villes sont génétiquement différentes des mésanges des zones forestières rurales. C’est ce que les chercheurs ont trouvé dans une étude unique, étudiant des populations de mésanges dans neuf grandes villes européennes.
Les chercheurs ont comparé les gènes des mésanges urbaines à ceux de leurs congénères vivant à la campagne. Peu importe que les mésanges vivent à Milan, Malmö ou Paris: pour s’accommoder d’un environnement créé par les humains, ces oiseaux ont évolué de façon similaire.
Lire la suite / Read moreLe changement climatique impacte la biodiversité mondiale en forçant les espèces à se déplacer pour suivre l’évolution des températures. Une collaboration internationale impliquant des chercheurs français, suédois, néerlandais et finlandais montre, dans un article publié dans la revue Ecology Letters, que la fragmentation des habitats due à l’activité humaine empêche certaines espèces de papillons de se déplacer suffisamment, les rendant ainsi vulnérables au changement climatique.
Adam KHALIFE, doctorant Sorbonne Université dans l’équipe ESEAE du département ECOEVO, vous convie à la soutenance de sa thèse : « La miniaturisation chez les fourmis : adaptations squeletto-musculaires pour vivre au sol et succès évolutif »
Vincent Zaninotto et ses collaborateurs ont suivi l’activité des insectes pollinisateurs à Paris et en milieu naturel, depuis la fin de l’hiver jusqu’à l’automne. Dans leur article publié dans la revue Ecology and Evolution, ils mettent en évidence une prolongation de la période d’activité des insectes urbains, qui peut se répercuter sur l’efficacité de la pollinisation.
Des scientifiques du CNRS, de l’université de Lorraine et d’Inrae(1) ont développé le premier robot guidé par des câbles, capable de suivre et d’interagir avec un insecte en vol totalement libre.