A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes le 8 mars, iEES Paris met à l’honneur les femmes de notre institut.
A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes le 8 mars, iEES Paris met à l’honneur les femmes de notre institut.
Les insectes “sentent” avec leurs antennes. L’étude de ce processus complexe, nécessitant des expériences délicates assistées par une informatique de pointe, a été motivée par le besoin de se protéger des ravageurs. Mais elle lève le voile sur leurs extraordinaires capacités sensorielles de ces animaux, un article complet à découvrir dans la revue d’histoire naturelle “Espèces” n°51, rédigé par Rémi Capoduro, ingénieur d’étude INRAE, au sein du département EcoSens de iEES Paris.
Lire la suite / Read moreEmmanuelle Jacquin-Joly a été invitée à intervenir lors de la conférence des ministres de l’agriculture des pays producteurs et transformateurs de dattes dans le monde, organisée à Abu Dhabi, Emirats Arabes Unis, les 26 et 27 février dernier. Son intervention a porté sur la possibilité de lutter contre le charançon des palmiers par une meilleure connaissance de ses récepteurs olfactifs, et en particulier de ses récepteurs olfactifs aux phéromones d’agrégation.
Lire la suite / Read moreLes 24 et 25 octobre, le département Ecosens a accueilli les journées du réseau national ADALEP (Adaptation des lépidoptères) sur le site INRAE Versailles-Saclay.
Ces journées ont rassemblé plus d’une vingtaine de présentations sur les invasions, les fronts d’expansions, l’adaptation et l’évolution des espèces mais aussi les méthodes de leur biocontrôle.
L’Université des Sciences Agricoles de Suède nomme Emmanuelle Jacquin-Joly, chercheuse INRAE à l’Institut d’écologie et des sciences de l’environnement de Paris, Docteur Honoris Causa de la Faculty of Landscape Architecture, Horticulture and Crop Production Science.
Découvrez toutes les participations de iEES Paris à la fête de la science 2023 du 7 au 15 octobre.
Devenez des experts en menant une enquête à base d’ADN végétal, découvrez la diversité des pollinisateurs et des fourmis, comprenez l’interaction des espèces entre elles mais aussi l’interaction entre l’eau et les sols…
Les cyanobactéries sont de plus en plus contrôlées face au danger qu’elles représentent lorsqu’elles prolifèrent trop, notamment dans certains plans d’eau d’Ile-de-France, qui ont dû fermer les activités nautiques au public.
En avril 2023, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a trouvé des substances jamais identifiées dans l’eau potable de 300 sites de captage en France, notamment un résidu de pesticide interdit, le chlorothalonil.
Jean-François Humbert, DR INRAE de l’équipe CoMiC du département DCFE répond aux questions de France Inter.
Marie-France DIGNAC, DR INRAE de l’équipe CoMiC du département DCFE a apporté un éclairage scientifique sur l’ampleur et les effets de la pollution plastique des différents milieux auprès du GDR Polymères et Océans et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires.
COMMUNIQUE DE PRESSE – Des scientifiques d’INRAE et de Sorbonne Université, en collaboration avec l’Institut de protection des plantes de Pékin, ont retracé l’évolution d’un récepteur olfactif spécifique de la noctuelle du coton, un papillon ravageur de cultures. Indispensable pour la reproduction du papillon, ce récepteur permet aux mâles de reconnaître le composé essentiel de la phéromone sexuelle de la femelle. Les scientifiques ont pu retracer le parcours évolutif de ce récepteur apparu il y a environ 7 millions d’années et ont identifié 8 acides aminés essentiels pour la liaison entre le récepteur et la phéromone. Leurs résultats, publiés le 8 mai dans la revue PNAS, ouvrent de nouvelles perspectives pour le développement de stratégies de biocontrôle contre ce papillon ravageur.