Réussir la transition écologique de la société, rapidement, passe par une réinterrogation du concept de territoire urbain de multiples points de vue, notamment de celui de l’écologie en tant que science du vivant.
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Réussir la transition écologique de la société, rapidement, passe par une réinterrogation du concept de territoire urbain de multiples points de vue, notamment de celui de l’écologie en tant que science du vivant.
Sur la base de l’utilisation d’une application pour smartphone, les citoyens des trois villages ont été invités à signaler les changements de couleur de l’eau qui sont des indicateurs des proliférations de cyanobactéries.
Un collectif qui regroupe des chercheurs et chercheuses CNRS propose des conseils de bonnes pratiques collectives pour éviter la propagation du virus, en se basant sur la littérature scientifique sur le sujet.
Lire la suite / Read moreVincent Zaninotto et ses collaborateurs ont suivi l’activité des insectes pollinisateurs à Paris et en milieu naturel, depuis la fin de l’hiver jusqu’à l’automne. Dans leur article publié dans la revue Ecology and Evolution, ils mettent en évidence une prolongation de la période d’activité des insectes urbains, qui peut se répercuter sur l’efficacité de la pollinisation.
Lire la suite / Read moreAlors que Paris compte près de 2 000 ruches, des scientifiques alertent sur les risques que fait courir l’omniprésence des abeilles domestiques sur les autres pollinisateurs.
Isabelle Dajoz, Professeure à l’Université de Paris Diderot, est interviewée à propos de ses récentes études sur le sujet.
Sarah a étudié plus spécifiquement la stratégie de coexistence des plantes de la savane de Lamto, en Côte d’Ivoire, où les herbes et les arbres ont développé différentes stratégies pour optimiser l’acquisition de l’azote dans un écosystème où ce nutriment est peu abondant.
Si l’humanité veut se prémunir de l’apparition de nouvelles épidémies comme la Covid-19, il faut de toute urgence préserver la biodiversité.
Luc Abbadie, Professeur de Sorbonne Université a été cité dans un article de Libération.
Une interview de Jean-François Humbert, DR INRAE, spécialiste des cyanobactéries, par la télévision RTS, au sujet de chiens morts près du lac de Neuchâtel en Suisse à la fin du mois de juillet.
La persistance du carbone du sol peut être expliquée comme étant le résultat de la complexité fonctionnelle, dérivée de l’interaction entre les variabilités spatiales et temporelles de la diversité et de la composition moléculaire du carbone organique des sols.
Plus la diversité moléculaire est grande et plus la demande énergétique de décomposition est grande et limitante. Cet effet peut être stimulée ou atténuée par la variation spatiale ou temporelle.
Les perturbations qui affectent les espèces indépendamment de leur taille ont un impact disproportionné sur les grandes espèces, modifiant ainsi la forme des pyramides d’abondance.
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