Plus d’une vingtaine de laboratoires français ont entamé une démarche de diminution de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ils viennent de dresser un premier bilan de cette initiative.
Lire la suite / Read morePlus d’une vingtaine de laboratoires français ont entamé une démarche de diminution de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ils viennent de dresser un premier bilan de cette initiative.
Lire la suite / Read more« Odorat des insectes », voici le titre du dernier article de Loïc Chauveau paru dans le numéro « Sciences et Avenir-La Recherche » du mois du mai n°903 (pages 55-58). L’article décrit les approches d’écologie chimique, classique et inverse, menées pour contribuer au biocontrôle des insectes ravageurs.
Le Forum mondial de l’eau qui s’est déroulé du 21 au 26 mars 2022, était l’occasion de présenter les principaux résultats du projet WaSAf. Initié en février 2016. Le projet WaSAf – Surveillance et gestion durable des ressources en eau de surface en Afrique – visait à mettre en place une démarche d’évaluation et de surveillance de la qualité des eaux de trois lacs africains utilisés pour alimenter trois grandes villes (Abidjan, Dakar et Kampala) et à préparer les premières mesures à prendre pour une gestion durable de ces écosystèmes et pour leur préservation et/ou leur restauration.
Emmanuelle Jacquin-Joly, chercheuse à l’INRAE, a reçu un prix du Khalifa International Award For Date Palm And Agricultural Innovation.
Détecter précocement la phéromone d’agrégation du ravageur, le charançon rouge, pour préserver les palmiers sera bientôt possible grâce au développement d’un “nez artificiel bioinspiré” dont les premiers tests sont prometteurs.
Philippe Lucas et Emmanuelle Jacquin-Joly, du département ECOSENS, ont répondu présents au quatrième webinaire du colloque Ecophyto Recherche & innovation “un monde d’odeur” qui a eu lieu le 4 novembre. Au programme : la restitution finale des Appels à projets de Recherche “JEVI 2016″, Pesticides 2014” et “PSPE2”.
Dans le cadre de la COP26 qui se tient à Glasgow jusqu’au 12 novembre, Futura vous propose une série d’entretiens avec des experts du climat pour décrypter le réchauffement climatique en cours, ses causes et ses conséquences, les risques auxquels nous devrons faire face si nous ne parvenons pas à maîtriser la hausse des températures et à ne pas dépasser les 1,5 °C, les solutions qui existent et celles à mettre en place. L’urgence climatique n’est pas un vain mot !
Aujourd’hui, nous donnons la parole à Cornelia Rumpel, chercheuse du CNRS à l’Institut d’écologie et des sciences de l’environnement de Paris qui étudie les mécanismes qui permettent de stabiliser le carbone dans les sols..
Jean-François Humbert, Directeur de recherche INRAE de l’équipe CoMiC du département DCFE, a obtenu le prix “coup de cœur du jury”, ex aequo pour sa photographie “À l’école des sentinelles”.
Comment mesurer et réduire l’empreinte carbone des laboratoires de recherche ? Quels sont les objectifs de l’initiative “Labos 1point5” ? Rencontre avec Tamara Ben-Ari, chercheuse de l’INRAE, co-porteuse du projet.
Découvrez toutes les participations de iEES Paris à la fête de la science 2021 du 1 au 11 octobre.
L’espèce humaine est un voisin bruyant qui laisse la lumière allumée toute la nuit et libère dans l’environnement de nombreuses substances chimiques odorantes. Même non toxiques, ces productions interfèrent avec les processus sensoriels et cognitifs qui permettent aux organismes de communiquer, d’exploiter leur milieu, ou d’éviter les prédateurs.
Comment cette pollution sensorielle agit-elle précisément sur la faune et la flore sauvages ? Que peut-on faire pour l’atténuer ?
Un article, dans the Conversation, de Michel Renou, directeur de recherche INRAE.