Mon projet de thèse vise à étudier l’impact de la fragmentation de l’habitat sur l’évolution de la dispersion et la structure des communautés de fourmis. J’utilise une approche intégrative basée sur des méthodes complémentaires : théorie, expérimentations et analyses de données provenant du terrain. Je me place à différentes échelles, de la population à la communauté.
J’effectue ces recherches sous la direction de Thibaud Monnin et Nicolas Loeuille.
Pour en savoir un peu plus sur une partie de ma thèse dans les parcs parisiens :