Découvrez toutes nos participations à la fête de la science 2020
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Dans cette étude, nous analysons des trajectoires individuelles de vieillissement de la vipère d’Orsini (Vipera ursinii) à partir des données d’un programme de marquage-recapture effectué pendant 36 années successives dans deux habitats voisins d’une population du Mont Ventoux en France. Nos analyses permettent de quantifier l’espérance de vie, les temps de génération et la forme de la sénescence de la survie et de la reproduction.
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris ce 1er septembre le décès de notre collègue et ami Christian Peeters, Directeur de Recherche CNRS à iEES-Paris au sein de l’équipe ESEAE « Espèces Sociales dans leur Environnement ; Adaptation et Evolution ».
Lire la suite / Read moreSarah a étudié plus spécifiquement la stratégie de coexistence des plantes de la savane de Lamto, en Côte d’Ivoire, où les herbes et les arbres ont développé différentes stratégies pour optimiser l’acquisition de l’azote dans un écosystème où ce nutriment est peu abondant.
Si l’humanité veut se prémunir de l’apparition de nouvelles épidémies comme la Covid-19, il faut de toute urgence préserver la biodiversité.
Luc Abbadie, Professeur de Sorbonne Université a été cité dans un article de Libération.
Une interview de Jean-François Humbert, DR INRAE, spécialiste des cyanobactéries, par la télévision RTS, au sujet de chiens morts près du lac de Neuchâtel en Suisse à la fin du mois de juillet.
Des chercheurs ont étudié le génome de deux espèces de guêpes parasitoîdes s’attaquant à différentes espèces de pucerons afin de comprendre quelles sont les adaptations qui leur permettent d’échapper aux défenses de leurs hôtes et de ses endosymbiotes protecteurs.
La rotation des cultures est un gage de durabilité, pour les cultures vivrières comme pour les cultures de rente, dans les zones montagneuses d’Asie du Sud-Est.
Lire la suite / Read moreLa persistance du carbone du sol peut être expliquée comme étant le résultat de la complexité fonctionnelle, dérivée de l’interaction entre les variabilités spatiales et temporelles de la diversité et de la composition moléculaire du carbone organique des sols.
Plus la diversité moléculaire est grande et plus la demande énergétique de décomposition est grande et limitante. Cet effet peut être stimulée ou atténuée par la variation spatiale ou temporelle.
Depuis plus de 10 ans, la Ville de Paris et l’iEES Paris collaborent sur différentes problématiques d’écologie urbaine. De ces collaborations, à l’interface entre la recherche et les techniques concrètes de gestion du milieu urbain, ont émergés des résultats qui ont permis des avancées sur la connaissance scientifique du fonctionnement de l’écosystème urbain. Egalement, elles […]